8 octobre 2024
pleurer de bonheur aujourd'hui

10 choses qui m’ont fait pleurer de bonheur aujourd’hui

Aujourd’hui, j’ai pleuré de bonheur, parce que ma vie me rend heureuse:
1. parce que vivre avec mes enfants, les observer, les accompagner librement jour après jour est une si belle aventure.
2. parce que j’ose vivre enfin ma passion . Je vibre !
3. parce que mes enfants sont en bonne santé, pleins d’énergie, beaux… beaux par l’amour qu ils me donnent, par leur façon de vivre le présent et de ressentir les choses.
4. parce que mes enfants ouvrent mon cœur, m’ouvrent à la vie, à la tolérance… et ont cassé et cassent encore mes idées préconçues sur l’enfant.
5. parce que la singularité de mon second fils m’apporte une ouverture au monde incroyable.
6. parce que j’ai un homme exceptionnel, attentionné, aimant et tolérant. Je sais, je vois que beaucoup de femmes n’ont pas cette chance là. Alors moi je savoure !
7. parce que je vois mon frère enfin demain. Cela fait plus de 5 mois que nous nous sommes pas vus.
8. parce que malgré nos différences, ma famille est belle de cœur. Il y a énormément d ‘amour.
9. parce que de plus en plus j’écoute mon cœur, mes envies et c’est tellement bon !
10. parce que j’ai aussi de belles amies, qui m’apportent de la douceur et de l’authenticité. Que de belles qualités !

Finalement, j’ai pleuré de bonheur parce que j’aime ma vie et cette vie je l’ai choisie !
Pourtant tout n’est pas rose, il arrive très souvent :
– que mes enfants se disputent même à 7h du matin
– que mon mari oublie de descendre les poubelles et de ranger ses affaires
– que le comportement de mes enfants me blesse
– que l’opinion de mes proches me touche, me blesse aussi
– que j’ai des doutes …vous savez cette boule dans la gorge ou dans le ventre … Oups, est-ce que ce que je fais est bien ? D’ailleurs j’ai remplacé cette phrase par : Est-ce que ce que je fais résonne vraiment dans mon cœur ?

Mais grâce à tout ça, j’ai appris et j’apprends tous les jours
– que les disputes dans les fratries font partie de la vie de famille et qu’elles leur permettent de grandir, de se construire et d’apprendre à résoudre les conflits de façon non violente. Le mythe de la famille nombreuse heureuse sans dispute n’existe pas chez nous 😉
– que mon mari ne le fait pas exprès et qu’il suffit de lui demander de l’aide.
– que mes enfants ne sont pas parfaits, et ça m’arrange parce ça voudrait dire que je devrais l’être aussi. Non merci, la perfection est ennuyeuse et moi je suis loin d’être ennuyante 🙂
– que chacun de nous peut avoir des opinions et visions de la vie différentes de la mienne. L’essentiel pour moi, c’est simplement que chacun prenne le temps de se respecter et de ne pas juger.
– que mes doutes sont finalement des pépites de bonheur parce qu’ils me permettent de me remettre en question, de réfléchir, d’ajuster et de vivre pleinement et activement ma vie !

J’ai choisi le bonheur parce que je ne sais pas si après il y a une autre vie. Alors je veux la savourer, la croquer comme bon me semble. Je veux m’entourer de belles personnes bienveillantes, je veux prendre soin de moi parce que je ne sais pas quand tout s’arrêtera mais je sais que je ne veux pas avoir de regrets! Je veux vivre ce que j’ai envie de vivre !!!

Et vous, vivez-vous votre vie comme vous le souhaitez au fond de votre coeur ?
Je finis par cette phrase que j’aime tant de Paulo Coelho :
« Nous avons le devoir de cesser de faire ce qui nous rend morts vivants et de tout risquer pour ce que nous avons toujours rêvé d’accomplir »

Commentaires

Prisca Donat

Prisca, je suis une femme qui croque la vie à pleine dent : pétillante, généreuse et authentique. J'ai choisi de réaliser mes rêves mes envies et surtout d''écouter mon instinct, mon cœur. Passionnée par la psychologie depuis des années, je me suis formée à la psychologie positive et à la psychothérapie positive avec le Centre de formation Zen Pro de Montpellier. Depuis j'anime des ateliers sur le thème du bonheur, de la confiance en soi et des soirées avec le jeu TAO... et je me régale.
Contact: priscag66@orange.fr

Voir tous les articles de Prisca Donat →